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    Portrait d’une GOWeuse: Rencontre avec Isabelle, Laboréale

    Isabelle est originaire de Montpellier dans le sud de la France. « Tombée » dans les fleurs et dans l’huile d’olive étant petite,  une bonne partie de son enfance s’est déroulée dans une oasis située dans la vallée des Baux de Provence: le très lumineux et aromatique « Mas des Lavandes ». Curieuse de la vie, elle se décrit comme étant une véritable « slasheuse » dans la vie professionnelle. Après des études en sciences politiques, Isabelle s’est rendu compte que la vie de bureau n’était pas faite pour elle. Elle a donc décidé de se lancer à son compte et a créé Laboréale, un univers doux des eaux florales et des senteurs méridionales.  C’est ainsi qu’elle a croisé la route de GOW. Elle nous raconte son parcours et son projet…

    Bonjour Isabelle, peux-tu nous présenter ton projet et comment t’es venue l’idée de créer ton activité ? 

    Dans mon dernier emploi, j’ai développé un burn-out.  Entre 2020 et 2021, les confinements m’ont amené à faire le point et comme on développait déjà des produits pour le corps, quand j’ai vu la formation de GOW, j’ai foncé.
    Outre les cosmétiques, j’avais aussi d’autres envies qui tournaient autour de la nature. Je n’ai pas voulu me restreindre. Avec le recul, c’était pour moi une façon de me reconstruire autour de thèmes plus sensoriels et intuitifs, comme le font d’ailleurs tous les gens en burnout que je croise sur ma route (dieu qu’ils sont nombreux).

    Qu’aimes-tu le plus dans ta nouvelle vie d’indépendante ? 

    Je suis très heureuse car cette activité crée des ponts avec mon terroir provençal et mes proches qui ont une sensibilité écolo, et me permet en partie de travailler en voyageant (aspect photo, découverte de plantes, télétravail). J’ai beaucoup de joie à créer et expérimenter (le fameux « flow »), et je me régale aussi au niveau des ateliers cosmétiques où l’échange et le feedback est facile. En mai dernier je me suis donné un défi d’aller à un salon citoyen à Paris car des amis s’y rendaient, et malgré mon corps qui m’a joué des tours çà a vraiment bien marché, avec en bonus des retours inattendus de personnes qui m’ont carrément proposé leur maison en France pour des WE/semaines de formation dans le futur. J’étais aux anges.
    Je remarque que je retrouve progressivement mon esprit d’aventure, découvrir de nouveaux territoires, oser. Ca fait vraiment du bien.

    Qu’est-ce que GOW t’a apporté ? 

    Le travail sur le WHY, c’est vraiment pour moi la marque de fabrique de GOW. Qu’est-ce qu’on a pu y passer du temps à le cerner celui-là! Mais le jeu en vaut la chandelle, car après on se sent quelquepart unique. Il y a toujours cette vieille peur de la concurrence qui resurgit régulièrement mais en général pas longtemps car on a acquis une sorte de densité au fond de nous, une confiance, oui, qui fait qu’on se sent à sa place et droit dans ses bottes.
    Ah oui et les profils couleurs aussi: quelle découverte! C’est un point majeur pour la suite, que trop peu d’autres accompagnateurs d’entreprises oublient de mettre dans leur cursus de formation. Donc chapeau.
    Pour le HOW, c’est pareil, le clou c’était aussi ce qui était le plus pénible, à savoir le plan financier! La procrastination a comme pour beaucoup battu son plein, jusqu’au moment où je n’ai plus pu reculer. Il faut reconnaitre que malgré un accouchement difficile, jen ai gagné une clarté pas croyable. D’ailleurs, en ce moment dans le cadre d’un dossier de bourse je dois m’y repencher car comme mon projet est assez évolutif il faut l’actualiser régulièrement. C’est un outil interne et externe super…surtout quand on arrive à y intégrer toutes les formules automatiques!

    Quel conseil donnerais-tu à un.e jeune entrepreneur.e ?

    Mon conseil pour les jeunes entrepreneurs est le suivant: Bien se connaître. Dans mon cas, en complément des profils couleurs de GOW, j’ai découvert aussi mon profil MBTI, et récemment mon profil énnéagramme. Cela aide dans la relation à soi et aux autres, on comprend mieux ses clients… Et aussi, être conscient que nous avons des cycles (saisons, hormones etc.) qui nous donnent telles forces ou telles faiblesses en fonction des moments, et arriver à en tirer parti plutôt que de se flageler. C’est un des sujets que j’aimerais bien proposer en formation en 2023 d’ailleurs.

    Pour plus d’infos:

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